Polyclinique de Limoges

La Polyclinique de Limoges, la Ligue Contre le Cancer et le Limoges CSP mobilisés contre les cancers masculins

À l’occasion de Movember, campagne de sensibilisation aux cancers masculins (prostate et testicules) sur le mois de novembre, La Polyclinique de Limoges s’associe avec la Ligue Contre le Cancer et le Limoges CSP pour informer et appeler aux dons pour la recherche.

 

La Polyclinique de Limoges sera, lors du match de Betclic Elite opposant le Limoges CSP au Mans ce dimanche 19 novembre, co-parrain de l’évènement. À cette occasion, la Polyclinique sera présente lors du match afin de sensibiliser le public aux cancers masculins dans le cadre du « Movember ». Elle interviendra également pour proposer à chaque spectateur de participer à une grande tombola organisée durant la rencontre et dont les profits seront reversés à la Ligue Contre le Cancer 87 afin d’aider à financer la recherche sur ces cancers qui comptent parmi les plus répandus dans la population française.

 

La Polyclinique de Limoges et la Ligue contre le Cancer profiteront également du match du 19 novembre pour lancer leur cagnotte en ligne au profit de la recherche contre les cancers masculins. Celle-ci sera ouverte jusqu’au 30 novembre 2023.

Qu’entend-on par cancers masculins ?
Le plus fréquent est le cancer de la prostate, avec 50 400 nouveaux cas recensés en 2018 en France*. Cancer le plus fréquent chez l’homme et dans la population générale, il est rare avant 50 ans et présente un pronostic favorable si le diagnostic est réalisé suffisamment tôt. A contrario, le cancer du testicule touche principalement les hommes jeunes (2 769 nouveaux cas estimés en 2018)*. Si son incidence augmente, son pronostic demeure relativement optimiste. Aujourd’hui, les efforts portent sur l’amélioration des protocoles de chimiothérapie et des critères de choix thérapeutiques pour les formes avancées. Avec 450 cas recensés en 2018*, le cancer du pénis est le plus rare. Il touche principalement l’homme âgé. Son pronostic est moins favorable avec un taux de survie à 5 ans de 68 %*.
*Sources : INCA